dimanche, novembre 12, 2006



Allons les copains je ne sors quand même pas de taule
Tendez-moi vos mains, tapez-moi sur l'épaule
Vos regards sont si froids qu'ils me désarment et m'accablent
Comme si de je ne sais quoi, vous me rendiez coupable
On cherche son destin quand on trouve on s'accroche
Moi j'ai suivi le mien où m'a mené le coche
Et je vis en chantant, un peu sous tous les porches
C'est vrai, j'ai de d'argent, est-ce là votre reproche ?

On paiera chacun son tour comme toujours
Comme toujours, comme toujours

Allons les copains je ne suis pas un autre
On m'habille chez machin, mais je suis toujours des vôtres
Avant de retrouver les scènes et les studios
J'ai voulu m'enivrer de l'air du vieux bistrot
Où venaient les copains sans avoir rendez-vous
Où je venais certain de trouver l'un de vous

On paiera chacun son tour
Comme toujours, comme toujours
Comme toujours !
Comme toujours !