samedi, décembre 23, 2006

San-Antonio, Zéro pour la question, (jeux de mots)

“qu’ils aillent vomir ailleurs si j’y suis pas” (p. 9)

“Il a une attitude à ce point compassée qu’il inspire la compassion” (p. 14)

“j’en ai dégoûté d’autres, vous savez, et des coriaces” (pour j’en ai goûté...) (p. 15)

Nom: “Wolfgang Hurrou”, pour faire un peu kangourou (p. 22)

“Vous deviendrez faucons, mes drôles, après en avoir été d’authentiques” (p. 26) – vous deviendrez faux cons...

“Quatre pas à faire, dont un de Calais” (p. 26) – Pas-de-Calais

“leurs cubrations-élues” (p. 30)

“William Chespire” (p. 30)

“les dernières aventures d’Aster Hyx, le Gallois” (p. 31)

“je dubitative” (p. 33)

“bonimenteur à l’eau-air-thé-ef” (pour ORTF) (p. 34)

“d’autres zéros du travail” (pour héros du travail) (p. 34)

“le présent-tentateur”, “le représentant-tâteur”, “le présent-hâbleur” (pour le présentateur) (p. 34-35)

“les télé-spectres-hâteurs” (pour les téléspectateurs) (p. 35)

“ils acalifourchonnent” (p. 36)

“le comment-tas-tort”, “le comme-en-ta-sœur”, “l’omniprésent-tâteur” (pour le commentateur) (p. 37-39)

“je l’aperçois sur l’estrade, sollicitant un dossard (car les connards, ça se numérote)” (p. 38)

“le tévéman” (p. 39)

“le mât de gascogne” (pour le mât de cocagne) (p. 40)

“c’est une tournure de phrase typiquement britanouille” (p. 43)

“le téloche-mec” (p. 43)

“des paires de souliers, des paires de sous liés, des pères souilés” (p. 45)

“sa gracieuse Imagesté” (p. 47)

“une petite explication à bâtons rompus, à tétons repus, à tâtons dodus” (p. 58)

“chez elle c’est pas la loi salique, mais la loi salingue” (p. 58)

“je mea-culpise” (p. 59)

“dans les plus brefs des laids” (p. 60)

“manière de parer au plus pressé, comme disait un marchand de citrons” (p. 63)

“mon camarade Tu-Tues” (à propos du révolver) (p. 63)

“des dames pas trop nesses” (p. 65)

“à long z’enfants de l’apatride” (p. 65)

“elle veut pas poéter plus haut que son luth, la France” (p. 68)

“de je vous salis Marie; de je vous salut, maris; de je vous salais, morue; de je vous marie, salope!” (p. 71)

“un nœud-rologue” (pour un neurologue) (p. 71)

“Haie tonsure kil soie maure?” (pour Est-tu sûr qu’ils soient morts?) (p. 77)

“J’ai dard-dard une réaction de flic.” (pou dare-dare) (p. 83)

“il s’air-comprime” (p. 85)

“loto-psie” (pour l’autopsie) (p. 92)

“père-iscope” (pour périscope) (p. 92)

“cet horrible flic est entré dans ma cabine comme aux cabinets” (p. 92)

“cette saine logique qui lui permet d’exprimer en peu de mots ce que d’autres pensent en termes choisis” (p. 97)

“il me considère alexandre-benoîtement” (le nom du personnage qui fait l’action est précisément Alexandre Benoît) (p. 100)

“mon naturel de flic revient taugalop” (p. 114)

“y a pas puéril en la mineure” (pour y a pas péril en la demeure) (p. 116)

“dans l’eau cul-rance” (pour occurence) (p. 118)

“Las fort thune sourit os eau da cieux!” (p. 119)

“Kil en soie fête ce long tas veau long thé!” (p. 119)

“j’assure tant bien que mâle ma position verticale” (p. 122)

“vous m’en maudirez des nouvelles” (p. 126)

“les amis casés” (pour les kamikases) (p. 132)

“mèche air lecteurs” (pour mes chers) (p. 137)

“me voilà con damné” (p. 137)

“du moment qu’ils sont plus là, je peux les qualifier d’ex, comme en Provence” (p. 137)

“peut-être qu’un avion de reconnaissance les sauvera et méritera ainsi la leur” (calembour) (p. 138)

“La lumière de ma loupiote me permet de découvrir Dominique, agrippée comme Agrippine” (p. 140)

“n’empêche (à la sardine)” (p. 142)

“afin de mettre les choses au point, ou le poing aux choses” (p. 145)

“à perte de vulve” (pour à perte de vue) (p. 150)

“l’actrice vérité” (pour la triste vérité) (p. 151)

“féerique d’art” (pour Frédéric Dard) (p. 151)

“On sent que les questions météorologiques, météoriques, théoriques et autres la passionnent. Elle s’intéresse vachement à la vitesse du vent, au frétillement des étoiles, à la température au sol, au couches d’air, aux courants, aux alizés, aux balisés, aux cyclones, aux atmosphères, aux sphères, aux planisphères, aux cumulus. Elle s’intéresse aux degrés au plus haut degré, de son plein gré. Elle s’intéresse aux tractions et aux attractions. Le soleil et son troupeau de planètes n’a pas de secrets pour elle. Elle sait tout de son système et des astéroïdes qui poudroient dans sa zone d’influence. Avec gravité, elle peut réciter les lois de la gravitation. Avec une cigarette elle fait des ronds de fumée elliptiques.” (p. 156)

“Il y a là des caisses, des armes, des bidons, des gamelles, des couvertures, des jeux de cartes, des cartes géographiques, des cartes Mich’Lyn et des instruments de précision capables de tout préciser, depuis la concordance des temps jusqu’à l’intensité des retombées atomiques.” (p. 157)

Nom propre (d’un anglais) : Inglinglhin (p. 158)

“la censeur les a bloqués entre deux étages” (pour l’ascenseur) (p. 158)

“Ah! lectrices, lecteurs, remerciez le ciel de me lire, à tout Seigneur, tout tonneur.” (p. 161)

“les salons de l’Auto, les salauds de l’antan” (p. 161)

“quoi qu’encours-je, coac en courge” (p. 161)

“la nuit est tombée (sans se faire de mal) sur ce paysage singulier” (p. 165)

“Il est quelque fois moins pénible à un soldat de se rendre au cours d’une bataille qu’à un civil de se rendre à l’évidence.” (p. 173)

“Ouaille? insiste-t-il dans cet anglais francisé qui lui est propre (si j’ose employer ce terme pour qualifier quelque chose se rapportant à Béru)” (p. 174)

“je mérite les chats faux” (pour l’échafaud) (p. 176)

“que je m’assaisonne” (pour que je m’assassine” (p. 177)

“il ne faut jamais fendre la peau de l’ours avant de l’avoir hué” (p. 177)

“Nous avons notre libre arbitre, comme disait l’équipe de France de football.” (p. 182)

“Le tombeau de Pierre Larousse (n’amasse pas mousse)” (p. 182)

“ce qui me nuit, c’est que je ne m’attarde pas suffisamment sur les trucs capitaux. Je préfère les trucs capiteux.” (p. 184)

“Faut que ça barde. Faut que ça darde.” (p. 184)

“Un cri de Dominique lui coupe la chique (en anglais: the chique)” (p. 190)

“mais nous n’en avons cure, comme disait un curé excommunié” (p. 196)

“y a sûrement une base à proxénète” (pour proximité) (p. 202)

“une grande anatome de vol” (pour autonomie) (p. 202)

“il s’agit d’un repère... un repère de brigands?” (pour repair) (p. 202)

“vous ne l’ignorez pas, mes amours, il n’y a qu’un truc en ce monde capable de réfléchir plus vite que San-Antonio, c’est un miroir” (p. 205)

“on ne va pas rester ici jusqu’à vital éternua” (pour ad vitam aeternam) (p. 205)

“je réalise alors qu’ils vont cracher leurs suppositoires aux quatre points cardinaux, comme disait Mazarin” (p. 206)

“je ris à gorge d’employé” (p. 211)

“la villa Sam’Suffit” (p. 214)

“c’est beau comme un oisis plein d’oisifs et d’oiseaux” (p. 221)

“le gros chat angora s’étire et quitte son coussin germain” (p. 223)

“il est impassible, impeccable, impavide, impénétrable, impalpable, impatient et possède au plus haut degré l’art de s’impatroniser” (p. 224)

“c’est un homme d’environ cinquante ans, et des environs de Kyoto” (p. 224)

Nom (d’un Japonais): Tumapavu Chudanlmaki (p. 224)

“Ainsi parlait Kamasoutra!” (p. 229)

“Apparemment satisfait, il se retire dans ses appartements” (p. 229)

“nous vivons l’aventure la plus faramineuse de tous l’étang” (p. 229)

“je vois la vie du bon côté. Et même du James Bond côté” (p. 230)

Nom (d’un Allemand): Herr Hetick (p. 230)

“m’interpelle l’homme de l’inter-pôle (sud de préférence)” (p. 235)

“lamente le future désintégré (un homme pourtant intègre s’il en fut)” (p. 236)

“cette fois je l’ai dans l’Herculanum” (p. 236)

“en un client et deuil” (pour en un clin d’œil) (p. 236)

“homme si présent, omniprésent, on me nie présent” (p. 238)

“par con c’est quand” (p. 239)